C’est une histoire dont on connait le dénouement rien qu’à l’énoncé. Le Mauricien n’aura pas passé la douane avec sa petite astuce de « génie », consistant à dissimuler de l’herbe dans des emballages Ferrero. L’homme s’est fait arrêter ce dimanche 15 octobre, et la fouille de son domicile n’a rien donné (pas de boulettes de shit en guise de topping sur des cookies ni rien).
Découvrez l’anecdote du jour, et des astuces douteuses de trafiquants (à ne pas suivre), tirées de faits réels parfois peu croyables ! Actualité et tuto sur Le Cannabiste.
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Le champion du jour vit à l’ile Maurice. Armé de son sac de duty free contenant ses deux boites de chocolats un peu spéciaux, l’homme, en provenance de La Réunion, comptait bien rejoindre son ile comme si de rien n’était. Mais c’est sans compter sur la rencontre avec un policier, et un agent de la Customs Anti-Narcotics Section de la Mauritius Revenue Authority. Après une fouille, ils se sont rendu compte que les chocolats (étrangement mal emballés) contenaient du cannabis.
Un trompe-l’œil presque parfait
L’homme avait pris le soin d’emballer le Zamal dans de la cellophane, et de recouvrir chaque boule avec du chocolat ! Chez Le Cannabiste, nous pensons que le petit génie pourrait amplement postuler chez Cédric Grolet, afin d’exceller dans l’art du trompe-l’œil pâtissier. En attendant, il a comparu ce lundi, en voyant s’envoler son butin chocolaté estimé à 16 000 euros.
Quand l’inventivité des trafiquants dépasse l’entendement…
Certains trafiquants restent classiques, et font passer leurs drogues dans des containers, des voitures, etc. Mais pour d’autres, il convient de redoubler d’ingéniosité.
Ce fut le cas des trafiquants mexicains, qui utilisaient des canons à air comprimé, pour faire voler la drogue jusqu’en Arizona, passant alors la frontière en s’envoyant en l’air. À noter que l’expérience a aussi été réalisée avec des catapultes.
En parlant du Mexique et de l’Amérique, cela nous rappelle grandement une petite histoire… Des faux citrons garnis de cannabis ! Encore une fois, les équipes de Cédric Grolet avec leurs citrons trompe-l’œil à 40 balles n’ont qu’à bien se tenir, car la valeur de ces “citrons verts” s’élevait à 800 000 dollars.
Il y a aussi eu l’histoire des pastèques (toujours à la frontière mexicaine, décidément), comme quoi le fruit de l’imagination des trafiquants n’a pas de limite.
Cocorico, les Français aussi ne laissent pas leur part au chien en matière d’ingéniosité. Un homme transportait du cannabis dans des cercueils, à bord d’un corbillard défraichi et démuni de système réfrigérant. Forcément, ça peut interpeller. Une astuce un poil morbide, en somme.
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Pour d’autres, la cachette idéale se trouverait dans des salades ou du foin…
Et même dans le tarin ! Oui oui, c’est l’histoire de l’homme qui, 18 ans après s’être fourré une capsule renfermant de l’herbe dans le nez, s’est retrouvé avec cette même capsule calcifiée au fin fond de la narine. Bon, sa rhinolite, on suppose qu’il ne l’avait pas sentie venir.
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Inutile de le dire, ne reproduisez pas cela à la maison. Le trafic de drogue est (comme vous le savez très bien) répréhensible.
Ce petit fait divers sur le trafic de cannabis nous a juste rappelé à quel point l’homme peut être innovant lorsqu’il s’agit de faire dans le vice. Il serait judicieux de mettre cette innovation au service de causes légèrement plus nobles.
En attendant, qu’est-ce qu’on se marre !
